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In: Ventunesimo secolo: rivista di studi sulle transizioni, Heft 49, S. 84-98
ISSN: 1971-159X
In: Artefact: techniques, histoire et sciences humaines, Band 5, Heft 5, S. 245-246
ISSN: 2606-9245
In: Annales: histoire, sciences sociales, Band 56, Heft 6, S. 1396-1398
ISSN: 1953-8146
In: Histoire, économie & société: HES : époches moderne et contemporaine, Band 12, Heft 4, S. 553-572
ISSN: 1777-5906
Résumé Les technologies étrangères jouèrent un rôle majeur dans l'électrification des grandes Compagnies ferroviaires françaises, tant pour la fourniture d'équipements que pour la conception générale des réseaux. Cette contribution ne doit pas être considérée comme un contrôle néfaste mais plutôt comme un dialogue fructueux, permettant la constitution dans Pentre-deux-guerres d'une filière française spécifique. Dans les trois systèmes techniques adoptés successivement, continu basse tension de 1895 jusqu'à 1906-1907, monophasé de 1908 jusqu'à la fin de la première guerre mondiale, enfin continu haute tension à partir de 1920, les Etats-Unis occupèrent une place prédominante avec General Electric et Westinghouse. La Suisse, avec Brown Boveri et Oerlikon, et dans une moindre mesure la Grande-Bretagne renforcèrent cependant leur influence durant les années vingt. Mais grâce aux efforts de leurs ingénieurs concepteurs et des constructeurs nationaux, les réseaux electrifies des Compagnies du Midi et du Paris-Orléans étaient devenus à leur tour, au moment de la nationalisation, des modèles européens, imités notamment en Espagne et aux Pays-Bas. Ainsi seuls d'importants transferts technologiques initiaux ont permis après la seconde guerre mondiale le rayonnement de Pélectrification ferroviaire développée par la S.N.C.F.
In: Histoire, économie & société: HES : époches moderne et contemporaine, Band 9, Heft 1, S. 95-112
ISSN: 1777-5906
Résumé : La plus mal lotie des grandes Compagnies ferroviaires françaises, la Compagnie du Midi, mena de 1852 à 1937 une politique de développement régional particulièrement complète. Liant étroitement l'expansion économique du Sud-Ouest et celle de son trafic, le «Midi» prit en charge trois actions d'envergure. Il contribua d'abord à la spécialisation de l'agriculture, à la modernisation de ses techniques de production et de ses méthodes de commercialisation. D'autre part il provoqua l'établissement d'un complexe d'industries nouvelles en développant une electrification ferroviaire étendue. Enfin son aménagement d'une infrastructure touristique intégrée diversifia l'activité du littoral et du massif pyrénéen et assura la promotion d'une image de marque plus séduisante. Après la période fondatrice des Péreire, cette politique multiforme connut son apogée durant rentre-deux-guerres avec le directeur Jean-Raoul Paul et son équipe d'ingénieurs modernisateurs. Seule entreprise de dimension régionale, le «Midi» se substituait alors aux entrepreneurs et à l'État défaillants : il anticipait sur la politique nationale d'aménagement du territoire.
Pour son projet, l'action touristique a besoin de connaître les éléments constitutifs, contributifs aux trajectoires des territoires afin d?accompagner, par des politiques publiques adaptées et en les infléchissant, les évolutions prévisibles. Un certain nombre de mutations relevées ici montrent le rôle majeur de l'innovation pour leur devenir. Aujourd'hui, les stations touristiques connaissent des conditions de production très différentes dans leur processus de développement. Les tensions de cette dernière décennie ont fait apparaître un doute porté sur le processus de développement touristique engagé depuis deux siècles. Les changements actuels, dans un contexte économique, social et culturel chamboulé, montrent avant tout des stations en tension, leurs mutations semblent marquées par des phases d'accélération ou de ralentissement qui relèvent de trois domaines différents, traités dans cet ouvrage : les processus de territorialisation, l'adaptation au changement et le management des destinations. L'ouvrage vise à qualifier les différents indicateurs des formes des trajectoires des stations et de leurs aires touristiques : la ressource, le capital, les capacités (sociales, de formation, économiques), la notoriété, la réputation (l'imaginaire et les symboles, les expériences et les vécus), la gouvernance, les politiques d?adaptation et de changement comme apprentissage de nouvelles formes d'action collective sont autant de facteurs que la recherche mobilise avec utilité. Ces indicateurs aident à construire la ressource touristique, permettent sa valorisation, ils servent d'outils pour mettre en œuvre des dynamiques d'innovation et aident à la définition du projet de station et de territoire touristique
Le processus d'integration europeenne a ete interconnecte avec science et technologie seulement apparemment au cours de la derniere decennie. Au contraire, des les annees 1950 les Etats membres de la CEE et ses potentiels candidats ont ete engages dans differents projets et tentatives de cooperation dans les secteurs de la science et la technologie. Les gouvernements nationaux non seulement choisirent la voie intergouvernementale, mais ils essayerent de profiter du cadre communautaire. Ces tentatives ont produit d'autres projets debattus au niveau de la CEE sur la standardisation de l'automobi
In: Nouvelles Fondations: trimestriel, Band 6, Heft 2, S. 86-89
In: Nouvelles Fondations: trimestriel, Heft 6, S. 86-89
ISSN: 1951-9745
In: Histoire de l'énergie/History of Energy
Depuis son apparition à la fin du XIXe siècle sous la forme industrielle, la nouvelle énergie électrique s'est immiscée dans les paysages métropolitains, industriels ou ruraux. Mais cette immixtion, sous le signe de l'étrangeté de l'appareillage, du bâtiment, des configurations spatiales et des postures professionnelles, s'est progressivement, et parfois radicalement, transformée en genèse d'un paysage électrique spécifique. Ce nouveau système paysager, qui concentrait tous les signes ambivalents de la modernité avant d'être aujourd'hui en certains cas patrimonialisé, a produit des figures extrêmement diverses. Cet ouvrage dépasse largement la question des externalités économiques et sociales négatives, question toujours au demeurant centrale. Il pose un jalon dans une histoire culturelle du dialogue entre l'électricité et le paysage. Il confirme que ce dialogue déjà multiséculaire ne se réduit pas à la mesure extrêmement volatile du gradient technophile/technophobe, tradition/modernité et bien entendu nature/culture. Il insiste, surtout, sur la complexité de la trame historique de ces paysages de l'électricité, où les physionomies territoriales se reconstruisent sans cesse en brassant le quotidien et le sublime, la fabrique de la nature et les superstitions de la culture.
In: Histoire de l'énergie, 4
World Affairs Online
In: [Publications d'histoire économique et sociale internationale 17]